.:°L'aventure sans fin°:.

Le soleil brillait et j'étais pourtant si seul. Je me sentait coupable d'avoir perdu de vu les 9 poulains qui étaient à ma charge. J'aurais du les mener en ses terres pour qu'ils vivent une vie libre et sans souci mais j'avais trahi la confiance que mes parents avaient en moi. Pourquoi n'y avait - t-il pas eu 15 poulains, comme toujours dans tout ma vie ? 15 était mon chiffre fétiche. L'âge mes parents se sont saillies, le nombre de jours avant ma naissance où mes parents sont mort heureux et le nombre de jours après mon anniversaire quand je suis partit à 15 ans. J'avais aussi 15 élève par ans et il y avait 15 chevaux au pré quand j'y étais, en me comptent moi bien sûr. Je préférait ne pas m'embrouiller dans les nombres mais je trouvais ça plus qu'étrange. Je relevai ma tête, regardai le soleil et baissai de nouveau mon crâne. Le lagon rocailleux était si beau. Le ciel azur avait beaucoup de belles luminosité.
J'étais perdu dans mes pensées et ses terres. Je réfléchissais mal, je n'avais aucune logique. je m'appitoit sur mon sort alors que je pouvais croire qu'au moin, ils ne souffraient pas plus que moi. Les poulains avaient du tous mourrir et vivait maintenant en harmonie dans ce paradis où nous n'irions pas. la liberté m'avait appellée et je lui ai obéit, à elle et à mes parents. J'avais peut-être tout simplement bien fait de les laissé mourrir en paix sans souffrance, aucune. moi j'allais souffrir et eux n'avaient plus rien à craindre. Moi qui me sentais si coupable, je n'avais fait qu'aider. J'avais tout résolu, maintenant tout allait si bien. Je ne devais surtout pas oublier tous ses moments et ce voyage de libération. même pas cette journée entière. Rien ne devait être laissé au hasard. je garderais tout pour moi et ne nierais pas que mon passé. Moi, white galop, j'étais sortit du box pour sauver les autres poulains en débourage.
Alors que je pensais encore, j'entendis un craquement, un bruit sourd. Je me retournait brusquement et regardait de mes yeux noir ébène frémissant de paillettes magiques les buissons, les arbres et les roches.
" Qui va là ?! " avais - je demander sur mes garde avec une voix grave et colérique.