Le thèrme équin [P.P.]

La promenade était un passe temps. j'aimais me balader. Je me rappelle quand j'étais encore jeune, les balades pendant les vacances avec de jeunes gens innexpérimentés sur mon dos. Je sentait qu'ils essayaient de rester calme. Ma hauteur n'était pas pénible tout de même. j'était le plus petit cheval du haras, j'étais un nain. Je me souviens le pré et les balades avec mon père qui me montrait les blantes mauvaises et les plantes bonnes qu'il avait lui même découvert. Je ne les avait pas dans mon instinct. Je me souviens des balades près du lac, les balades sur les bords des carrière à des allures régulières pour entretenir ma forme et mon endurance. je me rappelle de tant de chose sur ce chemin caillouteux. Je me souviens de ci et de ça jusqu'à ce que le néant retire mon passé et le mène vers un lieu sûr où je ne pourrais plus trouver le moindre moment de ma vie en solitude. Ma captivité était-elle terminée ou continuait-elle ? Je n'arrivait pas à m'y retrouver.
Je m'arrêtait à la hauteur de l'eau chaude. j'était encore derrière le mur qui me séparait de l'eau. Je ne tardai pas à me retrouver enfin sur le seuil d'une pierre volatille. Rien n'était plus beau que ce lieu aquatique de saphir et d'argent. Les terres lunaires avaient toutes une particularité, l'argent. J'aimait la couleur grise métallique mélangée à une autre pierre qui scintillait dans mes yeux comme s'ils était de simple mirroirs. Mon regard noir plongeait dans l'eau. Cette humidité chaude. Ce néant bleu recouvert de vapeur. Relvant les yeux d'un geste lent, j'apperçus un filemment blanc passé d'une pierre vers le noir. Je ne ressentait rien. J'eu un frisson et regardai ma croupe blanche. Ma queue était collée à mes postérieirs, je ne pouvais l'en décollée.

La question m'avait étonnée sur le coup, elle le savait très bien pourtant. Je n'allais pas nier mon passer, j'avais fait mon boulot. Mes parents m'ont dit de me libérer et de trouver une terre, ils n'avaient pas préciser pour les poulains. Je réfléchissait à comment tourner ça pour lui dire mais, franchement, c'était trop dure.
- Bah ! En fait, j'étais dans un centre _le meilleur cheval_ et 15 jours après mes 15 ans j'ai libérer les poulains pourqu'ils me suivent et je suis passer un peu partout en quête d'une terre. La moitié est partie avant que je n'entre dans le désert sombre, un en ai devennu fou, l'autre n'a pas souffert et les deux autres... Pouf ! et moi j'ai continuer.
*Rho, mais quelle histoire franchement, c'était un peu court, fallais aussi que je raconte un peu tous les 15 que j'ai vécus XD. Je délire totalement. Je suis délirant. Je me parle à moi même maintenant. Non, tu ne ta parle pas à toi même : tout ça c'est dans ta tête. La ferme. Non, tout ça c'est dans ta tête. Ca sert à rien je délire.*
Je tentait de rester un minimum sérieux, sans un sourrir plus large.

White Galop sauta dans l'eau et galopa à toute vitesse derrière la jument. Ses vains esssaies pour la rattrapé lui donnaient progressivement une stratégie. Il semblait qu'elle tourne en rond. Il double et plongea dans l'eau tiède. Comme c'était bon. Son galop se transforma en mage avant que la jument ne puisse arrivé nul part et il trottina tranquillement dans l'eau en battant des jambes, tel un forcené. Il finit par avoir de nouveau pied et passa à la quatrième vitesse pour foncé sur la jument blanche. l'eau n'avait pas l'air de s'évaporé quand on était à l'intérieur, c'était comme une source thermale dont les bienfaits sont vérifiés. L'étalon galopa plus vite et tenta de mordre la jument sans qu'elle n'est rien vu. Avançant son museau, il tenta la touche.