Galopades folles entres les fourrées. [L]

Le soleil était au beau fixe, aucun nuage n'eut le courage de le cacher derrière leur oppaque couche blanche et le ciel restait d'un bleu azur. La tempête de la veille laissait des traces sur l'herbe émeraude du sol. Les toiles d'araignées scintillaient comme de légers voiles transparents perlés. L'eau d'un ruisseau marquait quelques fois quelques ondes en cercles sur sa surface lisse laissés par les gouttes tombant des feuilles verte verluisante. Le soleil laissait se tracer sur tout le paysage la splendeur fraîche et parfumée que donnait la clairière. Je me promenais au pas, renifflant les fleurs à peine éclosent de l'aube. Ce que je trouvait étrange set automne, c'est la forêt n'avait pas prit une teinte chaude avec du marron, du orange... et toutes ses autres couleurs que l'automne révélait au grand jour quand le soleil se couchait plus tard pour faire la grasse matinnée après. C'est comme s'il existait ici un printemps éternel.
Mon pas régulier laissait un filet d'eau trempé l'herbe que je venait de passer juste avant avec le membres précédant. La mousse poussait sur les troncs, toutes un peu près du même côté et étaient reluisante d'un filet de fine pluie ventilée par la brise seche et froide qui faisait voler ma crinière comme un feu blanc sur le côté. Je fermais les yeux pour sentir la douce odeur d'herbe fraîchement trempée. Je me sentait tout àa fait bien et l'air que je respirait était d'une douceur innégalable. C'était d'un agréable... Mais... Une odeur persistait à gacher le tableau. Je rouvrit mes yeux et fouilla furieusement les alentours.