(libre) Le blanc parfait

La blancheur immaculée de la neige allait tellement bien avec ma robe tachée de noir par endroit. Ceci n'étaient que quelques cicatrices que je m'était faîtes en arrivant sur ses terres et chez les hommes. Ca cicatrisait et ça partait à la vitesse de l'éclaire en plus. Je passai au galop à travers les arbre et me laissai glisser avec un nuage de poudreuse fantômatique. Je n'hésitai pas à secouer les arbres de toutes mes forces pour m'amuser et me frigorifier dans la neige en même temps. J'entrepris de visiter les alentours.
Je trottai paisible depuis quelques instants quan sentit un odeur de je ne sais quoi. Je suis pas doué aux devinettes et encore moin à l'odeur en hiver. j'allais éternuer si je continuais à ouvrir les naseaux.