White Galop

Mon plan fonctinnait à merveille : j'allait pouvoir m'enfuir quand le moment seras venu. Mes parents disaient que je devrais m'enfuir seul ou avec les poulains du haras car il se pourrait qu'ils aillent à l'abattoir pour souffrir comme des chiens en cage. Je voulais aider mes parents mais ils serais déjà à l'abattoir quand je devrais partir. ils auront un retraite au moin pis. Je les aimaient tellement que je voulais partir avec eux mais cela ne servais à rien : ils répétaient "non". Moi je soufflais quand ils disaient ça et me rassuraient. Ils seraient toujours là pour moi, dans mon coeur.
Je n'ais jamais oublier ce passer en amérique avec mes parents. J'avais la dizaine environ. On continuait de me monter et j'étais calme, paisible avec la plus art des cavaliers. j'obéissait rapidement pour éviter la cravache et les coups de rênes. Je me faisais aggressif avec les galops 4 pour qu'ils apprennent à ne pas se laissés faire. Je connaissais les niveau de chacun et je faisait de mon mieux pour gagner de la réputation en temps que bon cheval de centre. Les chevaux étaient tous jaloux de ma sensibilité sur le dos qui me permettait de vois si c'était un débutant ou un confirmé. Je n'enviait pas les chevaux qui restaient au pré car je savais comme c'était lassant au bout d'un moment. bientôt, mon plan serais mis en exécution. Mes parents me répétaient que le moment serais venue dans 5 ans; Voîlà qu'ils avaient 25 ans. Moi aussi je voulais avoir un poulain doué de sensibilité et de grandeurà mes 15 ans, comme eux.

4 ans plus tard, mes parents furent prématurément placé en retraite après s'être bléssés tous les deux à 15 jour d'écard. pourquoi 15 ? j'avais 14 ans et je ne comprennais pas leurs signaux. Une fois, j'ai ouvert mon box et je leur ai demander. "ton coeur te le diras." disaient-ils. Mais mon coeur ne me disait rien depuis un ans. quand j'eus 15 ans, je me sentait confiner, trop grand pour vivre ici. J'entendais des voix, je ne disais rien à personne et je faisait tout mal. c'était donc ça ce qu'ils voulaient dire. Ils étaient mort 15 jours avant mon anniversaire et j'en avait été boulversé de sanglots. Le numéros 15 revennait toujours dans ma vie. 15, 15... pourquoi 15 ? cv'était mon âge, c'était l'âge où mes deux parents se sont saillies au pré sans que les hommes ne les voient. Il y avait trop de bizarrerie dans ce monde funeste. Rien ne me vennait plus que la liberté. J'étais dans ma confusion. Il fallait que je libère les poulains et les pouliches et que je parte loin jusqu'à la terre des chevaux sauvage que chacun auras choisit.
Cette nuit là, encore 15 jours après mon anniversaire, je m'étais libérer et avait pris tous les poulains de 6 mois à 4 ans pour partir. Les chevaux acceptaient que je partent avec les futurs bêtes de sommes. "Restez silencieux" prévins-je les petits " Il ne faut pas que les hommes ne vous voyent partir du centre." les jeunes rejetons me suivirent au pas et galopèrent avec moi.

Arrivés au niveau du désert toujours obscur, les poulains eurent un choix. La moitié d'entre eux partirent vers une terre plus simple et moi, je restait avec les 4 qui restaient pour les guider. Le froid frigirifiait les poulains qui se collaient à ma robe pour se réchauffer. L'un d'eux finit par devennir fou et s'engouffra comme un masse dans le désert sans retour. Mon hénissement ne servit à rien et je continuait avec les autres poulains. On ne comptait pas les heures pendant lesquelles on marchait péniblement sur le sable bleu. Les traces de nos sabots férrés disparurent à la première brise et nous marchions. Les poulains essayaient de s'amuser à voir ce que voyait l'autre mais ça les déprimait. un autre voulut partir, mais je ne laissais pas faire. je lui demandais du courage.
Rien n'était plus pénible que les pleures de mes protégés. Après un moment, on arrivait enfin à une immense porte. "c'est ici que nous avons à faire un choix. Qui est avec moi ?" Le poulain qui avait pleurer de retrouver ses parents partit au triple galop vers l'est pour y abréger ses souffrance. Son hénissement grinça dans ma conscience et les autres reculèrent. Un fauve approchait vers nous. je demandais de partir où ils voulaient aux poulains qui traversèrent le portail pendant que moi, j'essayais malgré moi de défendre mes protégés. Je finit par faire reculer le prédateur en lui assénant un léger coup de sabot sur la tête, près de l'oeil et partit au galop vers le soleil. j'avais eu si peur... Les poulains avaient disparus. J'étais totalement seul. je ravalait ma salive et partit au galop. Je sentait quelque chose me poursuivre sur le sable caillouteux. Je tournais la tête et accelérait encore. du métal me poursuivait. Ma robe devennait un peu plus brillante à chaque foulées. l'argent qui me poursuivait m'obligeait à partir au grand galop comme un malade mais ce ne fut pas vite fait.
Après une dizaine de minutes, je fermit mes yeux et galopa toujours plus vite, sans ressentir ni la fin, ni la soif et encore moi la fatigue. Je me sentait alors rouler et parcourir l'argenterie du sable à la vitesse d'un TGV. Je perdit conscience de ma situation en quelques secondes seulement. avais-je atteint le mur du son ? Celui du temps ? Oh, et si c'était un malheur ? Si je ne me réveillait pas ? j'ouvris les yeux en faisant un horrible cauchemar. J'avait déouvert une terre prète à m'acceuillir. Est ce que c'était vraiment réèl ? Je n'en croyais pas mes yeux. Mon Dieu, mon Dieu... Ce n'est pas un rêve ni un aulograme. Je cessait de respirer...